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Certains pèlerins lorsqu’ils se sacralisent, ne ressentent pas en eux-mêmes qu’ils accomplissent un acte d’adoration qui leur est obligatoire, qu’ils se doivent de s’éloigner des choses qu’Allah a interdites, qu’ils doivent avoir un bon comportement et apprendre leur religion afin qu’ils adorent Allah avec connaissance. On les voit accomplir certains actes interdits, se tromper dans l’accomplissement des rites du pèlerinage et ne pas questionner les Oulémas. Ils ne possèdent aucune prédisposition à rectifier les erreurs qu’ils accomplissaient avant le pèlerinage. Ces actes prouvent que leur pèlerinage n’est pas complet, s’il est accepté ! Nous implorons Allah qu’il nous donne la santé et nous accorde le salut.
Le Prophète (
) a dit: « Deux yeux ne seront pas touchés par le feu, celui qui pleure par crainte d’Allah et celui qui monte la garde toute la nuit dans le chemin d’Allah ».
) a dit: « Deux yeux ne seront pas touchés par le feu, celui qui pleure par crainte d’Allah et celui qui monte la garde toute la nuit dans le chemin d’Allah ». Il faut savoir que 'Arafat est un jour important où s’effacent les mauvaises actions, où Allah éloigne du feu l’adorateur qu’Il désire. Il loue auprès de Ses anges ceux qui y stationnent. Profitons donc de cette chance et multiplions en cette station (arrêt) les demandes de pardon, les invocations en notre faveur et en faveur des autres musulmans.
Lorsqu’on lance contre les Djamarates les sept petits cailloux, on doit faire attention que les cailloux tombent bien dans le bassin, toutefois s’ils en sortent il n’y a pas de mal. On ne lance que sept petits cailloux, sans augmenter ou diminuer le nombre.
Il n’est pas permis alors que l’on se trouve en état de sacralisation de se laver les mains et le corps avec du savon parfumé.
Celui qui ne trouve pas d’animal à offrir en sacrifice ou qui n’a pas les moyens de l’acheter, doit jeûner trois jours pendant le pèlerinage et sept autres jours une fois rentré chez lui dans sa famille. Ils peuvent être tout aussi bien jeûnés d’un jeûne continu que discontinu. A l’exception de ceux qui habitent dans le Haram qui n’ont pas à égorger d’animal en sacrifice.
On se doit de se comporter de la meilleure des manières et rendre service aux pèlerins, leur donner à boire, ne pas les importuner et être patient avec eux. La grande récompense se trouve auprès d’Allah, soyons donc indulgents et très patients.
Il est permis au pèlerin de changer ses vêtements d’Ihram et de se doucher lorsqu’il le désire.
La visite de la mosquée du Prophète () à Médine, avant ou après le pèlerinage est une Sunna. La prière effectuée dans cette mosquée équivaut à mille prières. En revanche, le voyage doit n’avoir pour but que de prier dans cette mosquée. C’est une Sunna de visiter, après cette prière, la tombe du Prophète () et de ses deux Compagnons, qu’Allah soit satisfait d’eux. Ensuite, on visite la mosquée de Qoba pour y accomplir une prière, puis on visite le cimetière de Baqiî où se trouve les tombes de nombreux Compagnons, qu’Allah soit satisfait d’eux. On les salue et on invoque Allah en leur faveur. Puis on visite la tombe des martyrs de la bataille d’Ohoud où se trouve le martyr Hamza qu'Allah l'agrée. On les salue et on invoque Allah en leur faveur. Et il n’est pas permis d’invoquer les morts ou de les appeler à l’aide, car ceci est du polythéisme et annule l’œuvre.
) à Médine, avant ou après le pèlerinage est une Sunna. La prière effectuée dans cette mosquée équivaut à mille prières. En revanche, le voyage doit n’avoir pour but que de prier dans cette mosquée. C’est une Sunna de visiter, après cette prière, la tombe du Prophète () et de ses deux Compagnons, qu’Allah soit satisfait d’eux. Ensuite, on visite la mosquée de Qoba pour y accomplir une prière, puis on visite le cimetière de Baqiî où se trouve les tombes de nombreux Compagnons, qu’Allah soit satisfait d’eux. On les salue et on invoque Allah en leur faveur. Puis on visite la tombe des martyrs de la bataille d’Ohoud où se trouve le martyr Hamza qu'Allah l'agrée. On les salue et on invoque Allah en leur faveur. Et il n’est pas permis d’invoquer les morts ou de les appeler à l’aide, car ceci est du polythéisme et annule l’œuvre.
